#Printempo

théâtre de rue, non verbal, participatif

Création 2013

Le spectacle #Printempo se saisit de l'actualité, en offrant une représentation des mouvements de protestation de ce début de décennie.

Au delà de la violence crue des écrans de télévision, les quatre acteurs visitent les différentes raisons de ces manifestations. Droit à la dignité, à l’éducation, droit à un niveau de vie suffisant, liberté d’opinion et d’expression, liberté de réunion et d’association pacifique, indignation face au pouvoir excessif des forces économiques ou face aux pratiques banalisées de corruption,...

Grâce à un langage visuel, chorégraphique, tantôt drôle, tantôt grave, la mise en scène reproduit la puissance spontanée avec laquelle nos contemporains se sont réapproprié l'espace public comme lieu de parole et de revendication, en invitant à renouveler notre exigence de liberté, d’égalité.

Avec simplicité et générosité, les acteurs partagent avec le public une expérience théâtrale traversée par l’énergie, la passion et le dynamisme contagieux des citoyens qui manifestent pour défendre les droits humains à travers le monde entier.

Un spectacle plein de surprises puisqu’il intègre la complicité du spectateur, de manière collective et improvisée, pendant la représentation, et éventuellement de façon préparée et mise en scène, grâce à des ateliers préalables qui permettent aux participants de mêler leur imaginaire à celui de la compagnie.

Distribution

Création : Adrian Diaz et Edith Van Malder

Mise en scène: Adrian Diaz Lopez Distribution: Maria Jose Parga, Edith Van Malder, Gregory Carnoli, Adrian Diaz.

Création des lumières version salle: Jean-François Georis Régie générale version rue: Cristopher Sayago

Création musicale: Adrian Diaz Lopez Création des costumes: Laura Lamouchi et Laura Blanco Sanchez

Scénographie et marionnette: «Apropos2» et le collectif «Waoo» Production: Christelle Alexandre

Avec le soutien de: CFWB, Espace CAR de la Maison Culturel d’Ath, Centre Culturel d’Eghezée, Centre Culturel de Floreffe

Crédit photos: Jean François Flamey

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Les escaliers sont en papier